Jean Marc Wullschleger
Reporter photographe français depuis plus de 25 ans, sillonne le monde pour capter des moments de vie.
Il ne revendique pas de forme photographique mais une façon de photographier. Au plus proche de l’instant présent, il témoigne d’une réelle proximité et d’un grand respect de ceux qu’il photographie.
Il y a une quinzaine d’années, Jean-Marc Wullschleger et sa compagne entreprennent un voyage en Amérique latine dans un schoolbus new yorkais, armés d’un vieux Rolleiflex, avec pour projet de saisir le quotidien et la richesse culturelle de ce continent.
Durant ce long voyage de 3 ans, Jean-Marc découvre au Guatemala une boite à chaussures laissée à l’abandon dans une décharge publique et contenant des négatifs photo.
Ce n’est qu’en 2015 qu’il scannera ces négatifs.
La découverte fut inespérée. La boîte contient plus de 400 portraits noirs et blanc d’une qualité rare, pris dans un studio photo des années 70. Des portraits humbles d’hommes et de femmes guatémaltèques qui irradient une densité puissante et émouvante.
A travers la diffusion de ces photos, c’est ce patrimoine photographique que JMW souhaite partager.Reporter photographe français depuis plus de 25 ans, Jean-Marc Wullschleger sillonne le monde pour capter des moments de vie.
Il ne revendique pas de forme photographique mais une façon de photographier. Au plus proche de l’instant présent, il témoigne d’une réelle proximité et d’un grand respect de ceux qu’il photographie.
Il y a une quinzaine d’années, Jean-Marc Wullschleger et sa compagne entreprennent un voyage en Amérique latine dans un schoolbus new yorkais, armés d’un vieux Rolleiflex, avec pour projet de saisir le quotidien et la richesse culturelle de ce continent.
Durant ce long voyage de 3 ans, Jean-Marc découvre au Guatemala une boite à chaussures laissée à l’abandon dans une décharge publique et contenant des négatifs photo.
Ce n’est qu’en 2015 qu’il scannera ces négatifs.
La découverte fut inespérée. La boîte contient plus de 400 portraits noirs et blanc d’une qualité rare, pris dans un studio photo des années 70. Des portraits humbles d’hommes et de femmes guatémaltèques qui irradient une densité puissante et émouvante.
A travers la diffusion de ces photos, c’est ce patrimoine photographique que JMW souhaite partager.
Jean Marc Wullschleger