Henri Kartmann
Photographe invité aux Nuits Photographiques de Pierrevert 2024
Photographe et plasticien, vit en haute Provence. Son travail cherche des signes dans les nouveaux paysages et les limites de l’espace « naturel ». Ses images environnementales cherchent à aller au-delà de la description, presque au niveau de la matière.
Depuis sa première exposition en 1969, il cherche dans des clichés incontestablement concrets une forme d’abstraction personnelle et créative. Il expose en France et à l’étranger (Espagne, USA, Russie, Cuba). Ses images ont été sélectionnées par plusieurs revues photographiques et il a publié en 2005 « Effet de serres ou l’esthétique des restes » et en 2023 « La Durance », voyage imaginaire « .
Lauréat de « Ultimate Eye Foundation » de San Francisco, sa série « Effet de serres » » a fait l’objet en 2005 d’une exposition au « Peninsula Museum of Art» de San-Francisco. Il a été sélectionné en mai 2008 au FIIE (Festival international de l’image environnementale) à Paris et projeté lors des RIP d’Arles. De même en 2009. et 2010 où il y obtient le prix de la découverte. En mars 2012, Il expose à l’occasion du Forum Mondial de l’eau à Marseille. Il Expose à Cuba en Avril 2013. Il Expose avec Hans Silvester à Montélimar et à Focales en Vercors »
En 2018, Il participe à « Présence(s) Photographie » à Montélimar en compagnie de Bernard Plossu. En Aout 2019, il présente « 50 ans de photographie » à Forcalquier. En novembre 2019 il participe à l’exposition « C’est quoi pour vous la photographie » à Tourcoing avec les amis de Bernard Plossu. il expose pour «Territoires de l’eau » à la fondation Carzou de Manosque. En septembre 2023, il expose « La Durance, voyage imaginaire » à la galerie de La Fontaine Obscure à Aix-en-Provence.
Site Internet : www.henrikartmann.com
Instragram : @henrikartmann
Facebook : henri.kartmann.9
Autre : www.artsper.com/fr/artistes-contemporains/france/5268/henri-kartmann
Série présentée : « Le monde à l’envers«
Le monde à l’envers
La période troublée que nous vivons transforme le regard. Même les paysages familiers de mon environnement immédiat paraissent étranges et inquiétants.
Comment retrouver un monde plus accueillant ? Certains ont choisi de retourner les pancartes, j’ai préféré retourner les couleurs.
Est-ce-que ça fonctionne mieux ?
Dans un premier temps les couleurs inattendues sont attirantes et excitent la curiosité, mais vite on voit que le ciel est bien sombre…
Quelques photos de la série : « Le monde à l’envers«
Cliquez pour zommer